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la tempête financière du siècle
19/08/2011 15:23
Des français se promenaient dans la rue comme si de rien n'était. Mais, en fait, il y avait bien une faille en France comme la faille de San Andreas aux Etats-Unis. C'était la crise financière mondiale. Les gens n'achetaient plus rien, les banquiers devenaient de plus en plus avares, pressants. Ils ne faisaient plus de crédits, et les commerçants aussi. Ces derniers faisaient tout pour vendre, pour gagner des sous en augmentant les prix, en trompant les clients. Le chômage ne faisait qu'accroître ou diminuer mais ne se stabilisait plus comme autrefois. Le phénomène de la crise financière, inquiétait le monde entier, plongé dans la déconfiture. Les hommes politiques semblaient confus, brouillés. Il essayait de dédramatiser la situation de la crise d'aujourd'hui en France.N"empêche que les français avaient bien peur. Tout avait commençé cela par une psychose. Les politiciens se montrant "trop gourmands" en lois rigoureuses et sévères, la crise était bien là. Les gens étaient très angoissés, fiévreux, avaient mal à la tête et souffraient de maux divers du siècle comme des maladies psychotiques chroniques. Les gens dormaient mal et d'autres souffraient d'insomnies sévères. Tout cela paraissait inquiétant et angoissant comme si la France avait été pris d'une "grosse grippe alimentaire du poulet". La crise devint européenne et touchait même la Martinique et les autres pays d'outre-mer les R.O.M. On craignait le krach comme cemui de 1929. Les grosses banques européennes et Wall Street étaient dans un tel état qu'on ne préférait pas penser au malheur. Tout avait commençé par une baisse énorme du chômage, une amélioration nette de l'économie. Les gens s'affolaient, paniquaient de telle manière qu'ils étaient devenus de plus en plus paranoïâques. Les banquiers et le monde entier ne dormaient plus tranquillement. Cependant, des fois, la France semblait un peu respirer. Les gens prenaient beaucoup d'anti-dépresseurs. Londres, Bruxelles, Rome, Madrid, Berlin, Francfort et également la Hongrie, le Danemark, la Suède étaient touchés par la crise. La monnaie européenne avait et allait très mal. Les médias parlaient de la crise en question et rassuraient les gens en leur disant que dès demain tout le monde trouverait dans sa botte de Noël un petit cadeau en guise de consolation. La crise financière durait depuis longtemps déjà. Les médias mettaient la pression.L a France et l'Europe allaient tous deux très mal. Les marchés boursiers avaient peur d'exploser, d'éclater ou carrément de bugger par certains moments. A la veille du nouveau président américain, les Etats-Unis semblaient malades, atrocement frappés par la crise monétaire et la dette publique. Puis, un jour, comme tous les autres jours, lapsychose se faufila sournoisement et devint paranoïde. La monnaie européene ainsi que le dollar se déprécièrent et on parla d'inflation. La monnaie ne valut d'un coup plus rien car le monde était en crise. Les gens, paniqués, s'arrachaient presque leur propre argent dans les banques, aux distributeurs et à ceux des autres. Ils vidaient leur compte de peur que leur banque fasse faillite et de perdre leur argent. Ainsi, un matin, ce fut l'anarchie, plus personne ne se respectait et la tempête balaya tout sur son passage.Les banques cédèrent et de nombreuses furent en difficulté et s'embrasèrent; puis, explosèrent et s'éteignèrent à jamais tel un volcan en éruption. C'était le chaos total. Tout le monde était dans la rue, manifestait, se battait, pillait, volait, brûlait des immeubles. Ce fut la Révolution financière et l'apocalypse arriva pour conclure. Pendant que les gens s'agitaient dans la rue, "le vent est du Labrador" souffla sur New York et balaya les rues de Wall Street tout doucement. Il souffla de plus en plus fort. Il se mit à pleuvioter, les nuages gris et noirs arrivant à grand renfort. Les gens malades se mettaient à pleurer de chagrin. Nous étions en Septembre et il pleuvait de plus en plus fort et des grêlons tombaient. Tout le monde s'abritaient ou rentraient à la maison.On l'appellera plus tard "la tempête du Labrador". Le vent fit un château de cartes de la plupart des immeubles en construction et n'en laissa pas une miette de Wall Street, de ses banques et de son argent. Enfin, la dernière image des médias avant le Krach boursier survienne fut que tous les écrans de télévision s'éteignèrent, et que les vitres des immeubles des banques éclatèrent et explosèrent et l'argent partit à toute volée par le vent qui était sans limite comme on n'a jamais connu depuis plusieurs siècles. Les gens paniqués coururent après leur argent. D'autres, s'agressèrent physiquement, s'entretuaientpour récupérer leurs biens et soudain tout s'arrêta. Le lendemain, le monde entier se réveilla avec un mal de tête épouvantable comme après une beuverie ou une soirée trop arrosée, comme les gens ivres avaient avalaient un bouchon de liège. Le lendemain, tout redevint stable, nitrop ni pas assez, les gens ne s'étaient pas rendus compte de la tempête. On sortait enfin d'une grave crise dépréciative et dépressive.
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