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VIP-Blog de aubonheurdesdames
poussophie@yahoo.fr

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  • Créé le : 12/11/2009 01:27
    Modifié : 15/03/2015 16:43

    Fille (33 ans)
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    des nouvelles de moi

    15/03/2015 16:43



    bonjour à tous! pas le temps en ce moment je travaille mes langues, je bosse(je travaille...) et j'ai des projets: j'ai réuni toutes mes histoires courtes et vais les retoucher et les retaper sur Word pour en faire un recueil. Peut-être qu'après je les ferai imprimer sur internet ou dans une imprimerie et les distribuerai.





     


     

    L'île de Vanuatu

    03/02/2013 07:24

    L'île de Vanuatu


    Il y eut une grande tempête une nuit entre l'Océan Pacifique et la Mer de Corail. Le raz-de-marée avait envahi les côtes des îles indonésiennes telles que la Papouasie et la Nouvelle-Guinée. L'Australie avait également souffert de cet ouragan près des Côtes du Nord-Est.

    Ce fut ici que commenca l'histoire de Mark Swimmer,un écossais, qui avec son voilier avait décidé de faire le tour du monde. Il était parti d'Ecosse et se trouvait aux larges des côtes australiennes quand son bateau fut envahi par d'énormes vagues. Mark était un marin d'origine. Sa famille vivait tout près de la mer en Ecosse. Son père travaillait dans la Marine nationale. Et le fils n'avait pas voulu le suivre car il était d'esprit solitaire. Il rêvait de faire des exploits. Il voulait être le premier et n'aimer ni la hiérarchie ni se faire commander. Donc, il survivait tant bien que mal. Il voulait passer à la télévision, être célèbre. Mais, tout n'allait pas se passer comme prévu.

    En effet, quand il partit, il avait prévu quil aurait à affronter des vagues violentes, des tempêtes, des ouragans, des raz-de-marée, des inondations, de la sécheresse, le froid, la pluie, la chaleur, le vent et le tonnerre. Il savait qu'il y aurait une grosse tempête pendant son voyage en mer mais il était parti quand même car il voulait essayer. Certes, un peu fou! Il avait étudié longuement et ce pendant une année, le trajet qu'il ferait, préparé minusieusement le matériel nécessaire, avait fait des travaux et des vérifications sur son voilier. Il avait analysé le temps qu'il ferait d'après les prévisions météorologiques. Donc, il avait dressé un bulletin météo. Tout allait bien au début lorsqu'il prit l'Océan Atlantique malgré quelques rafales de vent, il contourna péniblement l'Afrique du Sud par le Cap de Bonne espérance, jugé zone à risque,puis, se dirigea vers l'Océan Indien et la Nouvelle-Zélande plus au Sud.

    Il se situait maintenant sur la mer du Pacifique; quand une nuit, le vent se mit à souffler violemment, de plus en plus fort. Il comprit qu'il avait affaire à l'ouragan"Paulo" après celui de "Tristan", quelques semaines avant. Les vagues volumineuses heurtaient le voilier, qui se déchiquetait, se brisait, petit à petit, en petits morceaux. Mark avait prévu une barque et une bouée de sauvetage qu'il portait autour du cou ainsi que des fusées S.O.S. Il se battait contre le raz-de-marée qui resévissait sur l'Océan Pacifique. Son voilier-fantôme bifurquait, se déplaçait par le  vent et déviait à toute allure vers le Nord-Est, près des îles Vanuatu. A chaque coup reçu, la coque du violier se défonçait, s'enfonçait davantage dans la mer, se cassait, certaines parties du bateau s'étant disloquées.

    Compte tenu du danger, il sauta par-dessus bord avec sa bouée de sauvetage après quelques hésitations et pris sa barque. Il avait manqué de mourir, car au moment, où il sauta dans la barque et après avoir lancé plusieurs fumigènes, son voilier s'enfonça subitement dans l'eau et coula comme une épave dans les profondeurs de l'abysse.

    L'échouement du voilier amena Mark vers d'autres horizons et vers d'autres aventures.A l'aube, il crut halluciner: il voyait des côtes au loin et le navigateur fut très content.  

    Finalement, Mark retrouva sa barque sur une plage des îles Vanuatu, réputées mystérieuses et dangereuses car méconnues. On pouvait y rencontrer des cannibales et des tribus indonésiennes. Tellement secoué par le naufrage, il dormit pendant au moins vingt-quatre heures sur la plage.

    Quand il se réveilla, il était content d'être en vie; mais inquiet car dès son réveil, il entendit des" Bong! Bong!", comme si on tapait sur un tambour. Il savait que cette île était habitée et ne se sentait pas en sécurité. Avant la tombée de la nuit, il eut juste le temps de se construire un petit abri,une cabane avec des branches d'arbres et fit un feu de camp, il se trouva quatre bananes dans le coin,ne voulant pas s'hasarder dans la forêt. Il mangea avec délectationses bananes. Et le lendemain, Mark fut réveillé par le" Bong! Bong!"de la tribu Arachnée. Curieux de nature, il voulut visiter l'île avec beaucoup de courage. Plus, il s'approchait de la forêt et s'éloignait du rivage, plus il entendait"Bong! Bong!"Il ramassa au passage des victuailles, des bananes encore, une petite noix de coco, des litchis, des goyaves et des mangues. Il mettait ses provisions dans un filet qu'il tenait sur l'épaule. Il crut entendre le signe d'avertissement, de danger"Iah!Iah! Iah!" en montant dans le sentier. Les sons lui semblaient de plus en plus proches à mesure qu'il montait . La Terre trembla. Peut-être du à un mini-tremblement de terre. La forêt qu'il traversait semblait plutôt dense et très touffue. Soudain, il n'entendit plus de bruit. Et il vit une branche d'arbre bouger. Il eut peur et comptait repartir par le chemin emprunté, quand tout à coup, il fut encercler par la tribu Arachnée.

    Il fut pris de terreur à tel point que le premier réflexe qu'il eut comme tout être humain était de s'enfuir. ;

    Mais deux de la tribu Arachnée lui barrèrent la route avec deux sabres et Mark Swimmer failli mourir pour la deuxième fois, égorger.

    Cette tribu possédait des machettes, des haches, des gros couteaux à lames pointues comme les pirates. Ils avaient la peau colorée, rouge comme les Indiens. Ces indigènes avaient la bouche fermée avec un bout de bois ainsi que sous le menton. Ils portaient des jupes entrouvertes où on voyait souvent leurs parties génitales. Ils n'avaient pas de peau sur leur sexe rouge vif. Ils ne pouvaient pas s'exprimer avec la parole mais communiquaient avec les mains, les mimiques, les gestes, les oreilles, les yeux. Le bâton qu'il avait dans la bouche était horizontale. A l'adolescence, vers la fin, on leur perçait les lèvres et on leur levait la peau du sexe. On leur donnait une boisson relaxante avec ensuite de l'alcool pur, on leur mettait une poire dans la bouche et tandis que l'un était chargée de maintenir la bouche fermée, l'autre lui enlevait la peau et le dernier essayait de l'immobiliser. Mark n'en revenaittoujours pas. Il se mit à rire, à s'esclaffer. Il essayait de dire quelque chose sans y arriver.

    Finalement, il se lia damitié avec eux et cela lui servit beaucoup. Il apprit le langage muet. Ils avaient construits ensemble une grande cabane au-dessus dun arbre bien douillette pour Mark. Il vit les naissances se succédaientsuccédaient, les couples de jeunes se formaient, les garçons devenus hommes, les rites ancestraux jusqu'à la mort du chef de la tribu auquel il avait été présenté au début. Ce jour-là fut une catastrophe et la tribu fut très affaiblie . On enterra le chef sur le plus haut sommet de la montagne, proche du volcan éteint. Cette journée de deuil fut très chaude et très exténuante. On plaça une croix à l'endroit où était enterré le vieil homme avec quelques objets vaudous pour faire fuir les mauvais esprits et que son âme continue à rester à régner en paix.

    Swimmer, six mois plus tard, décida de repartir et de continuer sa route avec un nouveau bateau, un radeau qu'ils avaient fabriqué depuis peu. Ils s'y étaient mis avec bon coeur et bonne volonté. Ils n'avaient pas la notion du temps et restaient toujours pieds nus.

    Enfin, Mark partit le coeur retourné et les yeux pleins de larmes qui coulaient sur ses joues. Il salua du regard en me faisant signe dadieu à la tribu.

    Quand un matin, Mark qui naviguait paisiblement avec son radeau, sa voile et son mât, vit arriver une grosse caravelle comme celle des Vikings, qui paraissait avançer plus proche de son radeau comme un mirage. Il s'avéra que ces aventuriers avaient répéré ses victuailles. Les vivres de ses amis indigènes étaient trop visibles pour qu'elles ne passent inaperçus par les pirates. Ils lui pillèrent tout, saccagèrent son radeau, prirent les victuailles et après l'avoir enchaîner dans une salle obscure pieds et mains liés durant deux jours, ils l'égorgèrent avec un couteau long. Et avant et mourir, il pensa à ses copains indigènes de Vanuatu et ses "Iah! IahIah!" et d'un "Bong! Bong", l'histoire se termina ainsi.

     

     





     


     

    un chat dans la rue

    28/08/2011 13:18

    un chat dans la rue


    j'étais un chat errant, mourant de faim et de soif. Je buvais dans les caniveaux le peu que je pouvais et j'attendais tous les matins que le balayeur ouvre la vanne d'égout. Je mangeais des rats et des souris que je déchiquetais en mille morceaux.

    Il y avaitune chatte rousse dans le quartieret j'essayais de lui sauter dessus. Elle, frigide, ne répondait pas. Tous les matins, le vieillard lui donnait à manger en mettant une assiette devant la porte ou sous la voiture. Craintive, la chatte n'aimait pas aller sous la voiture.

    Ainsi, un jour, pour me venger, et par crauté, je l'avoue, et parce que je mourrai de faim à en avoir des palpitations épouvantables au coeur avec une sensation de chaleur extrême à l'estomac,je lui dévorais son assiette. Je la devançais et mangeais à sa place. Craintive et à la fois sur la défensive, elle fit un cri enragéet je partis en courant car je voyais le maître sortir de sa maisonalors que la minette miaulait tristement. Je me lêchais les babineset avait trouvé le repas délicieux. J'en riais presque d'étouffement. J'étais dans un tel état d'euphorie qu'une voiture failli me renverser.

    Je changeai de quartier et je m'enfonçais plus loin dans les ruelles sombres où les voitures ne passaient guère. Je croisai  tantôt des petites filles qui voulaient à tout prix me caresser ou m'embrasser le museau. Cependant, leurs mères et leurs pères grondaient leurs enfants en leur disant: "Emma, viens ici!".

    Il était vrai que j'étais un très beau chat de gouttière. Parfois, je trouvais des oiseaux morts et les mangeais. C'était un pur régal. Les rats, pour moi était de la nourriture trop grasse.

    Après avoir été dans le quartier de la chatte rousse, je m'installai sur une grande place, silencieuse. C'était une zone piétonne. Il y avait beaucoup de librairieset de petites salles de concert de rock. Les libraires ouvraient le matin tandis que d'autres râlaient en voyant un tas debouteilles de bières et de canettes devant leur magasin car les poubelles étaient trop pleines. Des fois, on trouvait même des seringues. Je n'aimais pas trop ce quartier, trop calme le matin, trop bruyante la nuit. Je commençais à regretter que la chatte rousse m'ait chassée. Et je savais que dès le premier jour, je serai mal accueilli car je vis dès mon arrivée, un gros chat noir. Je ne m'attardais pas trop logtemps à cet endroit, en effet, le gros matou noir, la veille,me poursuivit toute la nuit.

    Ilm'avait griffé à la joue et avait manqué de me crever un oeil. Il m'avait aussimordu. Décidément, je ne faisais que voyager.

    Enfin, j'arrivais dans un quartier où je ne vis que des chats. Surpris, je trouvais cela très comique. Je pouvais ainsi me faire des amis. J'étais ravi. Il y avait des chats de toute race. Je me fis un ami: on traînait dans les rues ensemble. C'était un gros matou noir vif, qui se serait sacrifié pour me défendre. Je trouvais à mon goût une chatte blanche et noire qui fit une portée de six chatons grandissant peu à peu. Dans le village des chats, on était tous solidaires: pas tout le monde ne pouvait y entrer. Mon copain et moi avions déjà de longues moustaches de vieillards.

    On vieillissait et monami n'arrivait plus très bien à se déplacer. Il tomba malade et mourut. Je fus consternée quand je le vis mourir et me rappelai de tous nos moments de jeunesse. J'étais de nouveau seul mais je restais dans le royaume des chats. Un jour, j'entendis, des adolescents qui semblaient regarder mon oeil que j'avais perdu lors d'une bagarre avec un chat d'un quartier voisin. Cela m'agaçait. J'avais beau changé d'endroit, je les entendais au loin.

    Enfin, alors que j'entendais derrière le buisson des pas et de l'agitation et alors que je n'aurai pas du me trouver à cet endroit, ce jour-là, et que j'hésitai à retourner dans la rue car je souffrai de solitude: j'étais devenu l'un des plus anciens chats du village, je me reçus une grosse pierre dans la tête et ce fut le trou noir.





     


     

    Le grand braquage

    20/08/2011 14:13

    Le grand braquage


    Nous nous approchions des fêtes de fin d'année. Les magasins étaient déjà tous décorés de guirlandes, de boules, de petits et grands sapins... Chaque année, Yves partageait sa nostalgie avec Chantal, sa compagne en s'habillant d'un smocking papillons, les cheveux pleins de gel, le sourire aux lèvres un peu forcé malgré le monde, la vie et ses problèmes.

    Pour les fêtes, il achetait de bonnes huitres pour les manger avec Chantal. Quel triste fin d'année à chaque fois! Yves était un homme robuste avec quelques kilos en trop. Il était très gourmand et rêvait de cambrioler un supermarché mais non pas de vider la caisse du magasin... Il rêvait tout simplement de se goinfrer de nourriture dans un supermarché.

    Yves et Chantal vivaient dans un petit appartement sale et lugubre. Les fins de mois étaient toujours très compliquées et difficiles. Ils étaient au chômage tous les deux et malgré les allocations qu'ils touchaient, ils vivaient pauvrement. Chantal était une femme mince avec des cheveux roux décolorés. Comble de l'ironie, ils habitaient juste en face d'un petit supermarché.

    Yves aimait beaucoup manger et Chantal adorait faire les magasins gratuitement. Elle les visitait, essayait quelques vêtements en cabine et les reposait juste pour le plaisir. Bien qu'elle l'ait traité de fou au départ, Chantal n'était pas contre quand Yves lui proposa de braquer le supermarché d'en face car c'était plus pratique pour eux.  Personne ne s'en douterait!

    Ainsi, les supermarchés revigoraient leurs vitrines et mettaient toutes sortes d'affiches de promotion. Ce n'était pas le genre de Yves et de Chantal  de voler de l'argent. Mais, Yves avait eu cette idée folle de passer une soirée avec Chantal pour les fêtes de fin d'années dans un grand supermarché. Ce serait leur réveillon. Ils arriveraient au dernier moment au magasin et se mettraient à leur aise. Ils éteindraient l'alarme et couperaient le courant pour passer une soirée en chandelles dans le magasin. Mais, comment arrêter l'alarme? Yves ne le savait pas.

    Alors qu'ils étaient sur le point de renoncer à leur projet;il y eut une forte tempête dans la ville. Le vent redoublait avec  violence, la pluie ne cessait de tomber avec de gros morceux de grêles car c'était l'hiver, c'était  Noël. Ils décidèrent finalement que ce serait pour ce soir.

    Ce soir-là, quand ils rentrèrent dans le magasin, ils arrivèrent tous trempés. Personne ne les vit ni entrer ni sortir. Ils resteraient enfermés dans le supermarché jusqu'à la fermeture. Ils s'étaient cachés, à l'abri des caméras, derrière de grooses caisses en bois replis de nourriture. Un gars du personnel  avait dit: "On rangera tout après-demain". On entendait la pluie qui faisait rage sur les toitures du supermarché. La tempête était impressionnante. Ils éteignirent la lumière et oublièrent de couper l'alarme. Ce fut un miracle pour Yves et Chantal qui avaient compris l'erreur. L'alarme était donc désactivée. Leur plan avait marché. Après Noël, ils repartiraient comme de simples visiteurs. En attendant, ils allaient pouvoir festoyer, réveillonner. Ils se mirent au fond du magasin pour ne pas éveiller les soupçons. Pendant que Yves cherchait des chaises, une table et des assiettes, Chantal avait pris des bougies qu'elle alluma. Elle trouva aussi une boite de ménagère. Elle l'ouvrit et en retira les couverts pour eux deux tandis que lui ouvrait des cartons où se trouvait des tabourets et prit une table qu'il vit sur son passage. Il installa tout.

    Yves et Chantal cherchèrent ensuite de quoi s'habiller proprement. Chantal s'habilla d'une robe noire, fluide trouvée au hasard dans le rayon pour femme. Et Yves mit un blouson en cuir d'aviateur d'une valeur de soixante quinze euros avec un jean homme et des derbies toutes neuves. Jamais, ils ne s'étaient aussi bien habiller et quant à Chantal, elle n'avait jamais été aussi jolie de sa vie et paraissait classe et jeune avec cette robe de soirée à soixante cinq euros. Ils étaient tous deux très émus.

    Enfin, ils cherchèrent de quoi manger: du foie gras en entrée avec des toats et canapés... Yves avait eu très soif car il avait bu entre autres du pastis, du martini, de la bière, du champagne. Il avait partagé cet apéritif avec Chantal ainsi que des cacahuètes et des noix de cajou.

    Yves avait suivi une formation de pâtissier il y avait longtemps de cela et connaissait les bons gâteaux. Ils mangèret un excellent, moelleux et frais gâteau aux poire-chocolat qu'ils trouvèrent dans un rayon. Chantal voulait absolument manger de la glace au dessert car elle adorait cela. Ils prirent deux pots de glace façon crême brûlée, vanille. Yves, très gros et très gourmand, mangea des yaourts également, des biscuits au chocolat, de la crême dessert.

    Le menu était copieux, entre autres, ils mangèrent des avocats, des fruits frais, des betteraves, du raison rouge. En plat de résistance, ils dévorèrent tout ce qu'ils leur passèrent par la main. Et pour finir, ils s'allongèrent sur un petit lit douillet avec une couverture polaire. Le lendemain de Noël, ils se recachèret dans leur planque respective.

    Le personnel du magasin arriva et s'aperçut de tout le carnage qu'avait fait Yves et Chantal. Le chef de rayon appela le directeur, qui, lui, téléphona à la police de quartier. Ils se pointèrent une demi-heure après.

    Ce fut l'heure de partir pour le couple qui s'étaient faits passés pour des voleurs et étaient repartis en simples visiteurs.

    On ne sait trop comment ils échappèrent à la police et au personnel du supermarché. Ils partirent par une porte de secours entrouverte sans se faire attraper et on ne les revinrent plus jamais dans le supermarché.





     


     

    les aventures extraordinaires de quatre amis

    20/08/2011 12:11

    les aventures extraordinaires de quatre amis


           Quatre américains étaient montés dans une fusée en Floride pour explorer plusieurs planètes de la galaxie, mais ils ne s'attendaient pas à une surprise.

    Donc, Ian, John,Doug et Jack étaient dans la fusée. Ian n'avait pas d'enfant. C'était le plus jeune. Il avait roux avec des taches de rousseur. John, le deuxième était blond comme Jack avait trois enfants et Doug qu'on surnommait Douggy avait deux filles.

    L'engin spacial se dirigeait vers Vénus, Mercure étant trop proche du soleil. Ils ne se doutaient pas qu'un long voyage les attendrait. Vénus était la planète de l'amour.

    Apeine, le pied posé sur Vénus, les quatre astronautes virent venir vers eux de drôles de personnages. Ils avaient des jambes et des pieds et représentaient différents aliments que l'on connait sur la Terre.

    La première ressemblait à une pizza avec une tête, des jambes et des pieds et des bras:"je m'appelle Mademoiselle Pizza. Bonjour et bienvenue!". Les quatre américains n'en croyaient pas leurs yeux et pensaient devenir fous.

    Mademoiselle Pizza continua à parler:" je vous présente Monsieur Hamburger, Mademoiselle Tomate, Monsieur Gruyère, Monsieur Radis, Monsieur Haricot, Mademoiselle Salade, Monsieur Cheeseburger, Monsieur vin rosé et Monsieur vin rouge et enfin Mademoiselle Canette". Ils dirent tous en choeur:"Bonjour!"

    Ils étaient donc onze habitants sur Vénus. Ce jour-là, les quatre astronautes qui avaient très faim, dînèrent avec tous les habitants de cette petite planète.

    Au menu, on trouvait des cuisses de poulet rôti, des côtelettes braisées, des tranches d'agneau cuisinées avec de fines herbes du potager; de grosses frites, des pommes de terr dorées au four...Les plats disposés sur la table paraissaient impressionnants. Mademoiselle Pizza était la plus timide de tous bien qu'elle fasse quelques efforts. On la surnommait la" Pizza au fromage de chêvre". Elle était amoureuse de Monsieur Hamburger et de Messieurs vin rosé et vin rouge. Elle n'arrivait pas à se décider. Elle voulait à tout prix se marier.

    Son amour pour ces messieurs était réciproque. Il y avait de la rivalité dans l'atmosphère. Ils l'aimaient tous les trois follement. Puis, la mode du mariage était lançée, Monsieur Vin rouge annonça finalement ses fiançailles avec mademoiselle Canette. Ce qui attrista beaucoup Miss Pizza au fromage de chèvre. Le couple se maria peu de temps après. Tous les habitants de la petite planète étaient invités. Miss Pizza apporta des centaines de mouchoirs et en jeta la moitié. Déçue, elle se remit vite et épousa Monsieur Hamburger. Enfin, elle avait trouvé" chaussure à son pied!"

    Mademoiselle Salade se maria à Monsieur Cheeseburger et Miss Tomate à Monsieur Gruyère. Quant aux deux hommes restants, Monsieur Haricot et Mnonsieur Radis ne trouvèrent pas de partenaire et furent très déçus mais ne s'avouèrent pas vaincus.

    Ainsi, à chaque mariage, on faisait une grande cérémonie, une fête avec de la musique, beaucoup de nourriture et des farces coquines. ..

    Les quatres astronautes restèrent restèrent pratiquement une année ici quand ils s'aperçuretn que le temps passait à une allure de croisière et qu'ils devaient visiter les autres planètes du système solaire pour de nouvelles aventures sur Saturne.

    Elle était particulière car la planète avait une usine en chocolat,des maisons en pain d'épices et des arbres, des supermarchés et des voitures en bonbons . Tout était presque en chocolat.

    Les terriens mangèrent des automobiles à la guimauve, aux pépites de chocolat, avec des bonbons moelleux au caramel, acidulés et dragéifiés.

    Quand d'un coup, les Saturniens se rebellèrent et leur coururent après. Les astronautes s'en allèrent précipitamment de la planète avec un goût amer même s'ils leur restaient quelques provisions que leur avaient confié les habitants de Vénus.

    Enfin, ils allèrent sur les autres planètes à part Pluton, qui était trop loin. Toutes les autres étaient inhabitées et ils durent rejoindre la Terre. La fusée descendit peu à peu; quand d'un coup elle se détacha violamment. Les visiteurs, munis de leur parachute, ceux qu'ils les sauvèrent, se jetèrent dans le vide, une fois arrivés bien dans l'atmosphère terrestre. Ils ouvrirent leur parachute. Ils touchèrent le sol.

    Ils reconnurent le lieu. C'était le désert de Mojave. Ils se quittèrent avec beaucoupde peine et les larmes d'émotions aux yeux en promettant de se revoir.

    Mais, ils ne se revirent jamais et l'expérience unique qu'ils avaient vécu,resta engloutie et enfouie en eux.

    Chacun d'eux partirent dans une direction opposée. Quand on leur  demandèrent de leur raconter le récit de leur voyage, ils racontaient que toutes les planètes étaient inhabitées.  

          





     


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